Posté dans zapping
1

Végétal

La Maison des Arts d’Antony accompagne jusqu’au 26 janvier quatre artistes d’aujourd’hui Sur les traces du végétal, entretien fertile entre l’imaginaire de l’art et les matières de la nature. « Refusant tout geste agressif envers l’univers botanique ou minéral, procédant par des modifications légères, par des transplantations à des fins esthétiques d’une grande élégance, Marinette Cueco, Duy Anh Nhan Duc, Marie Denis ou Marie-Noëlle Fontan déclinent, en dernière instance, une version végétale et domestiquée du Land Art », pour citer les mots et les titres d’Itzhac Goldberg, auteur de la préface du catalogue, professeur émérite en histoire de l’art et critique dans le Journal des Arts
Photo : Duy Anh Nhan Duc, Aigrette Fresque Végétale.

2

Tropical

Jusqu’au 8 février, il reste quelques semaines encore pour découvrir, en plein hiver, Réunions, le « manga tropical » exposé à La Terrasse, espace d’art de Nanterre, par le peintre Samuel Gelas. Une série de toiles récentes, bestiaire des mythologies et figures de carnaval caribéen, signées d’un jeune artiste né en Guadeloupe en 1986, remarqué au Salon de Montrouge et à la Cité internationale des Arts de Paris.
Photo : © Daniel Dabriou

3

Photo

Le dimanche 1er mars, de 10 h à 18 h, l’Espace Vasarely d’Antony invite gratuitement tous les passionnés de photo à regarder, se rencontrer, échanger, parler boutique et rêver au prochain flash ! À la fois exposition de tirages d’amateurs et de professionnels, moment de partage avec les auteurs et bourse d’échanges de matériel plus ou moins vintage, cette Journée de la photo est également l’occasion de participer à un concours des talents, numériques comme argentiques.
Photo : © 5e Prix du Public 2019 : Laëtitia P. – photo n°32 – D’amour et d’eau fraîche

4

Porcelaine

À Sèvres jusqu’au 9 mars, premier volet de l’invitation faite par le Musée national de céramique à la célèbre Manufacture de porcelaine : La Beauté du geste, pour mieux comprendre les subtilités et les prouesses des artisans d’art qui depuis plus de 250 ans maîtrisent et réinventent les secrets de la porcelaine. Retour impératif dans la galerie des savoir-faire pour le  second volet de l’exposition, à partir du 26 mars et jusqu’au 31 août.
Photo : CD92/Olivier Ravoire

5

Animation

La deuxième édition du festival du film d’animation tous publics, AnimART, organisé par la ville de Bois-Colombes du 22 au 28 janvier, se tient à la Salle Jean-Renoir. Deux avant-premières au programme : Samsam (à partir de 5 ans), court métrage projeté en présence de l’équipe de Tanguy de Kermel ; L’Équipe de secours, en route pour l’aventure (à partir de 3 ans), de Janis Cimermanis, suivi d’un ciné-goûter. On pourra également voir trois monuments du genre : Le Voyage du prince, de Laguionie et Picard (à partir de 8 ans) ; Le Château de Cagliostro de Miyazaki (version restaurée, à partir de 8 ans) ; et L’Étrange Noël de Monsieur Jack, de Tim Burton (à partir de 6 ans). Programme, ateliers et rendez-vous détaillés sur le site.
Photo : © DR

6

Dessin

Quand une poésie souriante s’affiche en couverture du New Yorker ou dans les pages de Paris Match, elle est bien souvent signée Sempé. Avec Sempé, itinéraire d’un dessinateur d’humour, l’Atelier Grognard expose, à Rueil jusqu’au 31 mars, plusieurs centaines d’originaux d’un aimable original, virtuose du pas de côté : « Les dessins d’humour essaient de dire, comme ça, l’air de rien. J’ai toujours été admiratif du type de la NRF, Jean Paulhan, qui concluait ses discours, théoriques, très longs, par un “Mettons que je n’ai rien dit”. J’aime beaucoup ça… »
Photo : © Sempé

7

Roman

La Maison de Chateaubriand reçoit à Châtenay-Malabry, jusqu’au 15 mars, Louise de Vilmorin, à l’occasion du cinquantième anniversaire de sa disparition – en quelque sorte en voisine puisque la femme de lettres était née et mourut à Verrières-le-Buisson, dans la propriété familiale des célèbres botanistes et grainetiers. Où, Madame de Verrières à la manière de Madame de Rambouillet, elle brillait dans son salon bleu en compagnie des signatures de l’époque. L’exposition Une vie à l’œuvre : Louise de Vilmorin (1902-1969) dépasse l’anecdote et les mondanités pour mettre en lumière l’aventure littéraire d’une femme qui avait su tout entreprendre avec talent, la poésie comme le roman.
Photo : © Collection Particulière Hugo

8

Empire

Le Musée des Avelines de Saint-Cloud entend faire revivre les architectures et les décorations d’un château disparu, grâce à d’élégantes reconstitutions fondées sur le témoignage photographique de Pierre-Ambroise Richebourg, élève de Daguerre. Les Derniers Feux du Palais de Saint-Cloud, en partenariat avec le Mobilier national, à visiter jusqu’au 23 février.
Photo : © DR

9

École

Le Musée d’histoire urbaine et sociale de Suresnes s’intéresse jusqu’au 21 juin aux relations entre l’évolution des techniques éducatives et celle des espaces qui leur sont consacrés. L’eaxposition Bâtir l’école. Architecture et pédagogie 1830-1939 réunit pour la première fois en un même parcours des œuvres et documents issus des collections du musée Carnavalet, du musée national de l’Éducation, du Centre de ressources en histoire de l’éducation de Gonesse et de services d’archives municipales en Île-de-France.
Photo : © DR

10

Jazz

Boris Vian, natif de Ville-d’Avray il y a 100 ans, n’était pas seulement le chantre de la java, celle des bombes atomiques ou des chaussettes à clous, mais surtout l’une des figures du jazz à Saint-Germain-des-Prés. Il y jouait à la fin des années quarante de la « trompinette » dans l’orchestre de son ami et complice Claude Abadie, lequel fête également ses 100 ans au cours du festival Jazz à Vian, du 17 au 19 janvier. Hommages multiples en compagnie du « Tentet » d’Abadie, du Serge Forté Trio, de Robin Mansanti, de Gérard Meissonnier, du Dixie Colors New Orleans…
Photo : © DR

11

Théâtre

Depuis la saison dernière, le festival d’écriture théâtrale contemporaine Auteurs en acte, proposé depuis plus de vingt ans par la compagnie SourouS, est entré dans un nouveau cycle, « en cette saison où la flamme encore fragile du printemps à venir s’allume dans l’obscure intimité de l’hiver ». Soit du 30 janvier au 2 février au Théâtre Victor-Hugo de Bagneux. Sous la direction artistique de Muriel Roland et Marcos Malavia, lesquels aiment « la poésie qui retrousse ses manches », le festival s’attachera tout particulièrement à la présentation au public des premières esquisses et work in progress.
Photo : © DR

Les commentaires sont fermés.